François Strubel
Printemps Les ruisseaux endormis S’éveillent et chantonnent, Les buissons rabougris S’étirent et bourgeonnent. Tout le long de la branche La fleur s’ouvre et sourit, Et dans le ciel pervenche L’oiseau lance son cri. Oui, partout dès l’aurore, Dans les champs, dans les bois, Le printemps fait éclore Les parfums et les voix. De grandes espérances Gonflent les cœurs humains Du grain de la semence Germent les lendemains.
La ronde des saisons
François Strubel
Printemps Les ruisseaux endormis S’éveillent et chantonnent, Les buissons rabougris S’étirent et bourgeonnent. Tout le long de la branche La fleur s’ouvre et sourit, Et dans le ciel pervenche L’oiseau lance son cri. Oui, partout dès l’aurore, Dans les champs, dans les bois, Le printemps fait éclore Les parfums et les voix. De grandes espérances Gonflent les cœurs humains Du grain de la semence Germent les lendemains.
La ronde des saisons