Le solstice d’été Déjà le jour, frais et dispos, Se lève de plus en plus tôt, Et le soleil, tiens quel hasard ! Se couche de plus en plus tard. Oui, la nuit enrobée de flou Se rétrécit par ses deux bouts, Et ce signe ne trompe pas : L’été arrive à très grands pas. Bientôt sous la lune d’argent Les fiers bûchers de la St-Jean Vont célébrer vers la minuit De l’année de la plus courte nuit. Alors en l’honneur du solstice Seront offerts en sacrifice De grands feux de joie dont l’usage Nous arrive du fond des âges.
La ronde des saisons
Le solstice d’été Déjà le jour, frais et dispos, Se lève de plus en plus tôt, Et le soleil, tiens quel hasard ! Se couche de plus en plus tard. Oui, la nuit enrobée de flou Se rétrécit par ses deux bouts, Et ce signe ne trompe pas : L’été arrive à très grands pas. Bientôt sous la lune d’argent Les fiers bûchers de la St-Jean Vont célébrer vers la minuit De l’année de la plus courte nuit. Alors en l’honneur du solstice Seront offerts en sacrifice De grands feux de joie dont l’usage Nous arrive du fond des âges.
La ronde des saisons