Les moutons du ciel Dans la plaine du ciel s’avance Un grand troupeau de moutons blancs; Partis gaîment en transhumance Ils progressent flanc contre flanc. En tête marchent les béliers Venus des lointains océans. Les brebis suivent par milliers Sous la houlette d’un géant. Mais voilà tout à l’horizon, Se déplaçant à pas prudents, Des loups à la noire toison Prêts à bondir aux quatre vents. Parmi les moutons en retard C’est bientôt le sauve-qui-peut, Car des centaines de traînards Sont dévorés en moins de deux. Pour mettre fin à ce carnage L’orage survient à propos. Puis se dissipent les nuages Et le soleil brille à gogo.
La ronde des saisons
Les moutons du ciel Dans la plaine du ciel s’avance Un grand troupeau de moutons blancs; Partis gaîment en transhumance Ils progressent flanc contre flanc. En tête marchent les béliers Venus des lointains océans. Les brebis suivent par milliers Sous la houlette d’un géant. Mais voilà tout à l’horizon, Se déplaçant à pas prudents, Des loups à la noire toison Prêts à bondir aux quatre vents. Parmi les moutons en retard C’est bientôt le sauve-qui-peut, Car des centaines de traînards Sont dévorés en moins de deux. Pour mettre fin à ce carnage L’orage survient à propos. Puis se dissipent les nuages Et le soleil brille à gogo.
La ronde des saisons