Le vœu Jamais les doigts d'un amant Ne joueront dans tes cheveux, Jamais ses baisers troublants Ne caresseront tes yeux. Jamais les bras d'un époux Ne vont étreindre ton corps, Jamais ses regards jaloux Ne veilleront sur ton sort. Jamais la joie d'être mère Ne viendra remplir ton cœur, Jamais d'enfants exemplaires Ne pourront te faire honneur. Car demain devant l'autel Tu vas accomplir le vœu De fuir tout amour charnel Pour te consacrer à Dieu.
Portraits
Ferveur Reçois ma prière, Seigneur, Toi à qui j’ai voué ma vie Dans la joie et la ferveur D’une fête à jamais bénie. Vois, devant ta très sainte face Humblement j’incline mon front, Ouvrant mon esprit à ta grâce Et mon cœur à ton saint pardon. Non, je ne te demande rien. J’accepte ce que tu m’envoies, Chacun de tes dons est un bien, Même la douleur qui nous broie. Permets seulement que je t’aime, Tous les jours plus, tous les jours mieux, C’est là mon ambition suprême, Tout le reste m’importe peu.
Le vœu Jamais les doigts d'un amant Ne joueront dans tes cheveux, Jamais ses baisers troublants Ne caresseront tes yeux. Jamais les bras d'un époux Ne vont étreindre ton corps, Jamais ses regards jaloux Ne veilleront sur ton sort. Jamais la joie d'être mère Ne viendra remplir ton cœur, Jamais d'enfants exemplaires Ne pourront te faire honneur. Car demain devant l'autel Tu vas accomplir le vœu De fuir tout amour charnel Pour te consacrer à Dieu.
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Ferveur Reçois ma prière, Seigneur, Toi à qui j’ai voué ma vie Dans la joie et la ferveur D’une fête à jamais bénie. Vois, devant ta très sainte face Humblement j’incline mon front, Ouvrant mon esprit à ta grâce Et mon cœur à ton saint pardon. Non, je ne te demande rien. J’accepte ce que tu m’envoies, Chacun de tes dons est un bien, Même la douleur qui nous broie. Permets seulement que je t’aime, Tous les jours plus, tous les jours mieux, C’est là mon ambition suprême, Tout le reste m’importe peu.